De marbre et d’argile, un article d’Olivier Barbarant sur le Pélerinage de Childe Harold de Byron

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“Déplorant à l’orée de son deuxième Chant de chercher en vain dans l’Athènes du début du XIXe siècle ‘l’arme du guerrier et la toge / Du sophiste’, constatant que ‘les ombres grises du pouvoir / Flottent dans les brumes des siècles / Au sommet des tours délabrées’, Childe Harold, après une longue digression à travers l’Albanie, revient à la strophe 73 à la ‘Terre des dieux perdus et des hommes divins’. S’agira-t-il de célébrer parmi les ruines, si chères au romantisme naissant, la persistance de la pierre face à l’effacement des êtres, ‘l’art robuste’, comme le qualifiera quatre décennies plus tard Théophile Gautier, qui ‘survit à la Cité’ ? …”

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